160 - Fin de l'été, septembre mois de reprise...
Article 160
Douarnenez le 5 septembre 2011,
Bonjour à Tous,
Depuis dimanche le temps a changé, la rentrée sera moins traumatisante pour les nostalgiques des bons moments de l'été...
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... 10 septembre 2011
Il n'y a pas que la météo qui perturbe...
...les politiques s'en occupent intensément...
...fort heureusement, le bon peuple est encore là... pour les sauver et leur donner les moyens de continuer... ... ...
(Web)
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Une crise qui dure !...
« Les finances publiques doivent être saines, le budget doit être équilibré, la dette publique doit être réduite, l'arrogance de l'administration doit être combattue et contrôlée, et l'aide aux pays étrangers doit être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite. La population doit encore apprendre à travailler au lieu de vivre de l'aide publique ».
Cicéron, 55 ans avant JC
(Je n'ai pas vérifié la source...)
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... le 14 octobre 2011
A quand le naufrage ?...
(C'est édifiant de relire cet article en juillet 2015...)
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... le 20 octobre 2011
... il y a beaucoup plus grave
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... novembre 2011
Essayer de comprendre...
A méditer…
Leçon d’économie :
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu’à cause de la crise, il n’y a plus de touristes.Tout le monde fait crédit à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €. Le touriste n’est pas plutôt monté à sa chambre que l’hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l’approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d’aller payer sa dette à la dame à qui il doit quelques passes.
La dame boucle la boucle en se rendant à l’hôtel pour rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l’heure.
Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l’hôtelier qu’il n’aimait pas sa chambre et n’en voulait plus, ramasse son billet de 100 € et disparaît.
Rien n’a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes.
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